• La session des ministres de la CEMAC en charge des Télécommunications et Technologies de l'information et de la communication, a été ouverte (20/11/08) par Justin Ballay-Megot, ministre à la Présidence, chargé de l'intégration sous-régionale et du NEPAD, représentant le Premier ministre.
    Vingt quatre heures avant la cérémonie, Thierry Moungalla, ministre, des postes et télécommunications, chargé de nouvelles technologies et de la communication, a reçu en audience, deux ministres de la CEMAC. Il s'agit de Fidèle Gouandjika de la République centrafricaine (RCA) et Parmelo Martin Modu Ebuka de la Guinée équatoriale.

    A la sortie d'audience, le ministre de la RCA a indiqué les deux sujets qui seront abordés au cours de la conférence des ministres en charge des Télécommunications et des TIC. Il s'agit de
    - L'harmonisation des textes dans le domaine des télécommunications ;
    - L'arrimage de la sous-région sur la fibre optique qui va donner la possibilité d'avoir un grand boulevard permettant à la CEMAC de rentrer dans le monde numérique. Il s'agira également d'examiner la proposition de connexion de tous les Etats membres de la CEMAC, sans exception, au projet Backbone d'interconnexion des réseaux de télécommunications de l'Afrique centrale.
    Il a également souligné que la sous-région, possède des agences de régulation de la communication.

    Le ministre congolais a déclaré que « L'installation de la fibre optique dans la sous région, a commencé avec la mise en exploitation du pétrole du tchadien. Il fallait alors, pour évacuer le production construire un pipeline depuis le Tchad jusqu'au Cameroun. On a profité de la pose de ce pipeline pour permettre au Tchad et à la RCA de s'arrimer sur SAT 3 [1]. Cette réalisation concernait ces trois pays. Avec l'intégration sous-régionale, le Congo Brazzaville se devait de faire le pas, d'autant qu'il est facile pour le Congo de se connecter à la fibre optiquequi passe en mer tout près de Pointe-Noire. »

    TM a affirmé que la Banque mondiale et la Banque africaine vont financer ce projet. « Lors de notre rencontre, tous ensemble, de manière convergente et intelligente, nous allons discuter afin que tous ces réseaux soient maillés au niveau de l'ensemble des pays de la CEMAC. Nous n'avons pas le droit à l'erreur. » a-t-il conclu.

    Le ministre de Guinée équatoriale, Parmelo Martin Modu Ebuka, répondant à une question de la presse s'est exprimé en ces termes « Cette réunion va permettre de réguler le secteur de télécommunications, un secteur très important pour le développement de nos Etats. »

    A la question de savoir si la CEMAC va vraiment décoller cette fois ci, le ministre a répondu « Avec la volonté politique, nous serons cette fois ci capable d'aller de l'avant et de faire décoller le secteur des télécommunications et des nouvelles technologies. »

    Notons tout de même qu'il est notoire que dans le domaine des Télécommunications et des Technologies de l'Information et de la Communication, comme dans bien d'autres secteurs de pointe, l'Afrique centrale accuse un énorme retard face aux autres sous-régions du continent.

    A l'ouverture de la session, un des experts a affirmé qu'il n'y a pas là de fatalité, « Il nous faut un véritable déclic ! La Conférence des chefs d'Etats de la CEMAC en mettant en place la Commission, a voulu doter la communauté d'un véritable organe d'exécution devant donner une impulsion au développement économique et social et à l'intégration de la Communauté. C'est ainsi qu'une vision vient d'être élaboré pour l'horizon 2025 [2], qui est celle de faire de la CEMAC, un espace économique intégré émergeant, où règnent la sécurité, la solidarité, et la bonne gouvernance au service du développement humain. »

    Source : http://www.congopage.com

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  • Depuis l'explosion de la téléphonie mobile au Bénin, l'application des Sms (short message system)  à la radio et à la télévision a révolutionné les émissions interactives. Désormais, les Sms augmentent  les taux de participation aux émissions,  font gagner plus d'argent et réduisent aussi les  diffamations.

    Le mercredi 04 juillet 2007, la télévision nationale du Bénin en partenariat avec l'agence "News and Picture Média" (Pcf/Npm) a diffusé l'édition zéro de l'émission "Priorité Succès". Il s'agit d'un magazine télévisuel consacré à l'éducation. Dans la rubrique « Question du jour », les téléspectateurs sont invités à apprécier la politique en matière d'éducation du chef de l'Etat. « La réaction des téléspectateurs est allée au-delà de notre attente » s'exclame Paul Marie Houessou, Directeur de l'agence Pcf/Npm. Mais le témoignage sur le blog du magazine (http://prioritesucces.over-blog.com) est plus éloquent. « Les téléspectateurs ont fait exploser les boîtes aux messages de l'émission le mercredi 04 Juillet 2007 après la diffusion du N°zéro. Plus de 150 messages enregistrés et une cinquantaine d'appels de téléspectateurs qui ont pensé que l'émission était en direct. Ils sont donc nombreux du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest à vouloir donner leur point de vue sur la question du jour : "Que pensez-vous de la politique du Chef de l'Etat, Dr Boni Yayi en matière d'éducation ?" ». Les réalisateurs de l'émission "Priorité Succès" ont préféré l'envoie des Sms à l'intervention directe dans l'émission par téléphone. Selon Paul Marie Houessou, « cette option se veut un choix qui fait la promotion de l'autocensure interne et du respect des règles d'éthique et de déontologie, car il sera plus difficile de contrôler et d'arrêter un téléspectateur intervenant en direct dans l'émission sur un sujet sensible... ».

    Les précurseurs

    Outre l'agence "News and Picture Média" (Pcf/Npm) qui a adopté les Sms pour rendre son magazine interactif, d'autres chaînes de télévisions utilisent les Sms pour gérer le volet interactif des émissions. C'est le cas de la Télévision Canal 3 TV Bénin qui a imposé l'usage des Sms aux téléspectateurs et auditeurs  pour participer à l'émission à grande audience "Zone Franche". Après une enquête réalisée au téléphone auprès de vingt téléspectateurs choisis au hasard, il ressort que toutes les questions envoyées au cours de l'émission ne sont pas reprises par les deux animateurs. Mais ces derniers font savoir que « l'invité de l'émission répond parfois déjà au cours du débat à certaines questions posées, sur lesquelles il serait inutile de revenir. Mieux, ils estiment que certaines questions envoyées par Sms sont injurieuses ou n'ont aucun lien avec le sujet débattu ». Par conséquent ils s'abstiennent de solliciter l'invité à se prononcer sur ces types de questions. « Nous n'avons pas voulu tomber dans le piège des participants qui monopolisent les lignes téléphoniques ou qui sont parfois payés pour régler des comptes à l'invité sur le plateau comme cela se passe ailleurs » souligne Brice Houssou, l'un des animateurs de l'émission « Zone Franche ».

    Une source de gain

    Les émissions politiques ou sociales interactives ne sont pas les seules où sont utilisés les Sms. Ils interviennent aussi dans des émissions interactives consacrées aux jeux radiophoniques et aux dédicaces. Par exemple, la radio "Océan FM" à Cotonou avait noué un partenariat avec un opérateur Gsm pour ces types d'émission. Dans le cadre de cet accord, chaque Sms envoyé vaut à l'auditeur la somme de 100 fcfa sur laquelle l'opérateur Gsm a un pourcentage et le reste est versé dans le compte de la radio. C'est le même souci qui guide le directeur de l'agence Pcf/Npm M. Paul Marie Houessou qui déclare : « Il y a beaucoup à gagner avec l'appropriation des Sms par les médias. D'abords, ils facilitent l'exercice d'un contrôle sur le contenu des messages que ce soit à la radio où à la télévision. Ceci évite non seulement des procès devant les tribunaux mais aussi d'être rappelé à l'ordre par l'Observatoire de la déontologie et de l'éthique dans les médias (Odem). Mais tout en gagnant sur le plan professionnel, les Sms permettent aussi de gagner de l'argent, car il suffit d'un bon partenariat avec un opérateur Gsm pour gagner au cours d'une émission le salaire d'un journaliste moyen dans le contexte béninois » Dans l'article "Les téléphones mobiles : un nouveau média"  Emily Turrettini soutient que « Les SMS deviennent une source de revenus intéressant pour les chaînes télévisées et sont un nouveau vecteur de fidélisation...Non seulement le public est incroyablement réceptif, mais ces nouvelles formules engendrent des profits. Facturé entre 1 et 5 euros (environ 650 et 3300 fcfa) le SMS, les chaînes partagent les bénéfices avec les opérateurs et autres sociétés impliquées, touchant jusqu'à 25% des revenus ».

    Tirer les leçons du passé

    Dans un passé récent, il était difficile aux médias de professionnaliser des émissions interactives en terme d'autocensure et de respect des règles d'éthique et de déontologie par l'usage des Sms. Les seuls moyens disponibles étant le téléphone conventionnel, l'e-mail ou les courriers postaux. Dans ces conditions l'intervention directe dans les émissions interactives est parfois catastrophique. François Awoudo, ancien président de l'Odem parle « d'émissions interactives émaillées de cafouillages avec des journalistes qui n'arrivent pas toujours à contenir la verve des auditeurs qui interviennent en direct » . Parlant des émissions interactives, Mamadou Ndao, de l'Institut panos Dakar écrit : « De telles émissions sont devenues courantes dans les pays africains qui connaissent un pluralisme radiophonique ; la particularité béninoise réside dans le fait que la télévision aussi est concernée. Sur les stations qui ouvrent leur antenne au public, le risque est toujours réel d'entendre proférer des propos insultants, incitant à la haine, diffamatoires ou qui portent atteinte aux bonnes moeurs... »  (4) Face à de telles dérives, la Haute autorité de l'Audiovisuel et de la communication a pris des sanctions contenues dans sa décision du 10 décembre 2003. Elles vont de la suspension de l'émission sur une période allant d'une semaine à un mois, à la suppression de celle-ci. Les décisions sont prises selon la gravité de la violation. Le cas le plus frappant dans l'histoire des médias du Bénin est la prise de la décision n°05-169/HAAC portant mesure conservatoire au sujet de l'émission « la Grogne matinale » sur Golfe Fm-Magic radio le 02 décembre 2005. Cette décision indique que Golf FM a « laissé des individus proférés des propos à connotation tribaliste et régionaliste sur la chaîne ». Par conséquent, la décision met fin pendant une période donnée à l'émission. Pourtant, selon Maître Désiré Aihou, membre de l'ONG internationale Gouvernance en Afrique, « la Grogne matinale est une sorte de forum de dénonciation des agents corrompus ». Si tant est que l'émission est prisée, il faut orienter les participants en les invitant à faire usage des Sms au détriment des appels directs, pour faciliter le contrôle et une meilleure gestion de la « la Grogne matinale » qui reste l'émission phare de la radio Golfe FM.

    Hippolyte A. Djiwan (Médiaction 2007)


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  • Le droit de l'internet partage avec le droit international cette étrange caractéristique de former une sorte de contradiction dans les termes, voire de fiction normative. On tente de forcer un principe de loi au sens usuel dans un domaine qui, par nature, résiste à pareil type de loi. De la même manière que le principe de souveraineté nationale réduit le droit international au rang de vœu pieux, la réalité technologique et la nature transfrontalière de l'internet fait échec aux tentatives du législateur, fut il européen.
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  • C O M M U N I Q U E N° 02/PR/SGG/Com (Extrait)

    Le Conseil des Ministres s'est réuni le jeudi 18 janvier 2007 .

    Au cours de la séance, le Conseil des Ministres a adopté plusieurs projets de décrets, notamment :

    - le décret portant transmission à l'Assemblée Nationale, pour autorisation de ratification, de la Convention portant Statuts du Fonds Africain de Garantie et de Coopération Economique (FAGACE) signée à Cotonou, le 15 juillet 2005 ;
    - le décret portant attributions, organisation et fonctionnement du Ministère Délégué Chargé des Transports et des Travaux Publics auprès du Président de la République.

    Toujours au cours de la séance, le Conseil des Ministres a examiné et approuvé plusieurs dossiers, notamment :
    - un compte rendu du Ministre de l'Environnement et de la Protection de la Nature relatif à la 3ème Conférence des parties contractantes à la Convention de Rotterdam, tenue à Genève, du 09 au 13 octobre 2006 ;
    - un compte rendu du Ministre de la Culture , de la Jeunesse des Sports et Loisirs relatif au 72è Congrès mondial de l'information et des bibliothèques de la Fédération Internationale des Bibliothécaires et de la 33ème Conférence des Directeurs des Bibliothèques Nationales qui ont eu lieu à Séoul, du 19 au 25 août 2006 ;
    - un compte rendu du Ministre de la Santé relatif au Colloque du Centenaire de l'Institut de Médecine Tropicale d'Anvers en Belgique, du 22 au 24 novembre 2006.


    Le Conseil des Ministres a également examiné une communication du Ministre des Enseignements Primaire et Secondaire et autorisé la réouverture et la reprise des activités pédagogiques au Collège d'Enseignement Général (C E G) de Sèmè-Podji.

    Au cours de ce Conseil, le Ministre Délégué Chargé de la Communication et des Nouvelles Technologies auprès du Président de la République a soumis à l'appréciation du Gouvernement les résultats des travaux du Comité Ad' hoc chargé du recensement et de la vérification de la légalité des activités des prestataires des services de télécommunications au Bénin.

    De l'étude de cette communication, il ressort les constats amers suivants :

    - l'exercice, par quarante sept (47) Opérateurs sur cinquante (50) visités, de tout ou partie de leurs activités en violation des textes qui régissent l'établissement et l'exploitation des réseaux concernés ;
    - l'accès anarchique à l'international des réseaux exploités par les entreprises concernées sans aucune autorisation des Autorités compétentes ;
    - l'utilisation anarchique des fréquences en violation de la règlementation en vigueur ;
    - la fourniture sans autorisation des services de télécommunications au public ;
    - le non respect de la législation en vigueur, notamment la violation des dispositions du Décret portant Règlement des installations et exploitations d'équipements de radiotéléphonie cellulaire mobile terrestre et de celles de l'Ordonnance n° 2002-002 du 31 janvier 2002 portant Principes fondamentaux du régime des télécommunications en République du Bénin ;
    - l'exploitation sans contrepartie des équipements de Bénin Télécoms SA par certains opérateurs privés ;
    - l'existence de pratiques de mal gouvernance à Bénin Télécoms SA.
    - l'inorganisation totale doublée d'une ouverture incontrôlée sans vision à long terme qui a plongé le secteur des télécommunications et des technologies de l'Information et de la Communication (TIC) dans un désordre indescriptible ;
    - le développement de pratiques frauduleuses qui ont ruiné les acquis du Bénin dans ce domaine et limité considérablement les opportunités que ce secteur aurait dû créer pour l'économie nationale en termes de richesse et d'emplois ;
    - des préjudices importants ainsi causés aux populations béninoises et à l'Etat, tout en maintenant les investisseurs et les opérateurs eux-mêmes dans un malaise permanent ;

    Cette situation catastrophique a eu pour conséquence de :

    - priver l'Etat d'importantes recettes d'exploitation des secteurs des télécommunications et des TIC ;
    - provoquer une forte hémorragie financière au préjudice de l'Etat Béninois
    - plonger Bénin Télécoms SA et le pays tout entier dans un lourd endettement ;
    - faire peser des menaces sur la sécurité du pays ;
    - ternir l'image du Bénin à l'extérieur.

    Eu égard à ce qui précède, le Conseil des Ministres a décidé des mesures d'assainissement qui s'imposent et donné des instructions au Ministre Délégué Chargé de la Communication et des Nouvelles Technologies auprès du Président de la République à l'effet de :
    - accélérer l'audit de Bénin Télécoms SA et la mise en place effective de l'Autorité de Régulation des Télécommunications ;
    - supprimer immédiatement tous les accès à l'international effectués hors des installations de Bénin Télécoms SA ;
    - suspendre tous les Arrêtés portant autorisation de prestations de services de télécommunications telles que : la Voix sur IP (Vo IP), la Boucle Locale Radio (BLR), le WIFI, le WIMAX, l'ADSL, les cartes prépayées, à l'exception des fournisseurs d'accès à l'Internet et des Opérateurs de Cybercafé qui exploitent légalement leurs activités ;
    - démanteler sans délai les installations techniques destinées à la fourniture des Services de télécommunications par satellite (VSAT) non autorisées ou utilisées pour fournir des services ouverts au public en violation des textes en vigueur ;
    - faire cesser sans délai, les services non encore ouverts à la concurrence (téléphonie fixe et cabine téléphonique mobile utilisés à des fins de téléphonie fixe) offerts par les opérateurs privés GSM ou autres en violation des textes ;
    - relever le prix des licences jusque là octroyées de façon fantaisiste ;
    - annuler l'Arrêté interministériel portant autorisation de l'interconnexion directe accordée à BELL BENIN COMMUNICATION pour relier directement son réseau à celui de TELECEL ;
    - examiner les conditions dans lesquelles a été opérée récemment la mutation entre Télécel et Moov.

    Le Ministre Délégué Chargé de la Communication et des Nouvelles Technologies auprès du Président de la République organisera une Conférence de presse pour présenter amplement à la Nation béninoise le contenu de ce Rapport de vérification de la légalité des activités des prestations des services de télécommunications.

    Le Conseil des Ministres a autorisé au cours de cette réunion :
    - l'organisation dans le courant de l'année, d'une mission de prospection commerciale, d'assistance en métrologie et d'échange d'expériences sur les PME, à Port-au-Prince, en Haïti ;
    - la participation d'une délégation du Bénin aux réunions mensuelles du Groupe de travail international sur la Côte d'Ivoire ;
    - la participation d'une délégation du Bénin à la 47ème Conférence annuelle du Collège ouest-africain des chirurgiens, prévue à Dakar, du 14 au 19 janvier 2007 ;
    - la participation d'une délégation de notre pays à l'atelier sur le développement des capacités de lutte contre le terrorisme dans les Organisations sous-régionales africaines, qui aura lieu à Alger, du 15 au 18 janvier 2007 ;
    - la participation d'une délégation du Bénin à la 1ère édition des rencontres transsahariennes des Arts et de la Culture , qui se tiendra à Niamey, du 15 au 21 janvier 2007 ;
    - la participation d'une délégation de notre pays à la 8ème session ordinaire de la Conférence de l'Union Africaine, prévue à Addis-Abéba, les 29 et 30 janvier 2007 ;
    - la participation d'une délégation du Bénin à la réunion des Ministres du Commerce de l'Organisation Mondiale du Commerce, qui se tiendra à Davos, en Suisse, les 27 et 28 janvier 2007 ;
    - la mission à Brasilia, au Brésil, du 12 au 19 janvier 2007, d'une délégation béninoise, pour négocier le protocole d'Accord d'assistance au développement des filières de bioénergie au Bénin.

    Le Conseil a par ailleurs autorisé :
    - l'organisation à Cotonou, les 16 et 17 janvier 2007, du symposium sur le dialogue entre chercheurs et décideurs pour la réduction de la mortalité maternelle et néonatale au Bénin ;
    - l'organisation d'une mission chirurgicale du Service de chirurgie pédiatrique du Centre Hospitalier Universitaire de Vaud en Suisse en partenariat avec Terre des Hommes et sa Délégation au Centre Hospitalier Départemental du Zou-Collines à Abomey, du 22 janvier au 1er février 2007 ;
    - l'organisation à Cotonou, du 07 au 11 août 2007, des 10èmes Journées scientifiques annuelles de la Société Ouest-Africaine de Chimie «SOACHIM» sur le thème général : l'Industrie chimique dans l'espace UEMOA. : quelle contribution des enseignants-chercheurs en chimie, biochimie et biotechnologie ;
    - l'organisation à Cotonou, du 23 au 25 janvier 2007, de l'Atelier régional d'adoption des grandes orientations de la Politique Commune d'Amélioration de l'Environnement (PCAE) de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine ;
    - l'organisation au Bénin, du 23 au 25 janvier 2007, du Congrès francophone d'épidémiologie en milieu tropical ;
    - l'inauguration le 20 janvier 2007, du Centre de formation Sports et Etudes à Djeffa PK 15, route de Porto-Novo ;

    Enfin, le conseil des Ministres a autorisé la candidature du Bénin pour l'organisation en 2007 du championnat d'Afrique des Clubs champions de Handball.

    Cotonou, le 18 janvier 2007

    Le Secrétaire Général du Gouvernement,

    Epiphane NOBIME.-

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  • Les trois opérateurs de téléphonie mobile traditionnels (Orange, SFR et Bouygues Telecom) ont subi un revers judiciaire mardi, avec la confirmation en appel de leur amende record de 534 millions d'euros pour entente illicite, mais les consommateurs réclament toujours réparation.
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