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  • Le Digital Pen est en fait une clé USB qui embarque deux microphones et qui exploite la technologie 3D acoustique mise au point par la startup Epos.

    digital-pen-usb Elle permet d'enregistrer la position d'un stylo sur une feuille de papier. Le but de cette solution est simple : pouvoir enregistrer de façon numérique dans la clé USB (de 1 Go) les notes que l'on a l'habitude de prendre sur du papier à main levée afin de pouvoir ensuite les récupérer directement dans son ordinateur, comme on peut le voir dans la vidéo disponible dans la suite du billet.

    Si tout va bien le produit sera disponible vers la fin du mois d'août aux alentours de 99 euros. Deux modèles seront proposés : l'un pour les étudiants et un autre pour les professionnels. Différents logiciels (notamment des logiciels de reconnaissances de caractères) seront fournis avec chacun des modèles. (via clubic.com) Adresse du site

    8 juillet, 2007 par Benm


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  • Le spécialiste des questions de décentralisation Claude Djankaki, a émerveillé plus d'un Béninois sur l'émission Zone Franche de Canal 3, dont il était l'invité hier. Après avoir rappelé aux téléspectateurs les enjeux des élections communales prochaines, il n'a pas occulté les questions liées à leur organisation qui, selon lui, coûterait très cher à notre pays. Selon ses déclarations, le gouvernement en croyant réduire le coût de ces joutes électorales a couplé les communales aux élections des conseillers et chefs de villages. Mais à en croire le conseiller communal de la mairie d'Abomey-Calavi, le coût serait moindre si ces différents scrutins ne devaient pas se dérouler le même jour. En prenant par exemple le cas de la structure en charge de l'organisation de ces élections, elle pouvait ne pas exister et la gestion de ces joutes serait confiée à une structure au niveau des communes. Il a cité le cas des élections organisées pendant la période révolutionnaire et qui selon lui, sont pratiques et moins coûteuses. " On n'a pas besoin d'une Cena au niveau national pour organiser les élections communales. Les graines du haricot, du maïs etc., peuvent remplacer valablement les bulletins confectionnés à coût de millions. ", argumente t-il. Pour Claude Djankaki, on peut créer une Cena nationale pour les législatives et les présidentielles parce qu'elles sont d'une envergure nationale. C'est pourquoi, il invite les députés et le gouvernement à repenser les questions liées à l'organisation des élections au Bénin pour des joutes à moindre coût et à bonne date.

    Répondant aux préoccupations des animateurs de l'émission sur les sorties répétées des membres du gouvernement sur le terrain, il a fustigé le comportement de nos ministres et a souligné que la période n'est pas indiquée. Pour lui, ces descentes ne devraient pas être médiatisées comme le gouvernement le fait. En principe, dira t-il, ceci est du ressort de la mairie que le gouvernement aurait appuyée à travers le transfert des compétences. Ce spécialiste des questions de décentralisation déclare être candidat sur la liste Upr pendant les prochaines élections.

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  • Pascal Todjinou est réélu président de la Commission électorale nationale autonome (Cena) vingt quatre (24) heures après la prise de la décision par laquelle la Cour suprême a déclarée invalide, sa première élection. Selon le compte rendu fait par l'ancien député Barthélémy Kassa, secrétaire du bureau d'âge ayant dirigé la plénière samedi, l'ensemble des dix-sept (17) membres de l'organe ont porté leur choix sur la personne de M. Todjinou de nouveau candidat au poste de président. Comme lui, tous les autres membres de la Cena élus au petit matin du 23 janvier dernier ont été reconduits à leur poste respectif au sein du bureau dans lequel Mme Léa Hounkpè et Symphorien Codjo Atchodé ont fait leur entrée respectivement au poste de secrétaire général réservé par la loi électorale au secrétaire administratif permanent de la commission électorale nationale autonome (Sap/Cena) et au poste de secrétaire à la communication. L'élection de M. Atchodé à ce poste laissé vacant lors de l'élection déclarée invalide par la Cour suprême, visiblement suscite quelques nouveaux remous au sein de l'organe selon des informations données dimanche par certains milieux proches de la Cena. A en croire ces milieux, un des deux représentants du chef de l'Etat revendiquerait ce poste comme étant réservé par la loi ou selon l'habitude à un représentant du chef de l'Etat. L'intéressé selon d'autres milieux aurait reçu la proposition d'être élu à ce poste au regard de son profil professionnel qui y conviendrait mais l'aurait refusé parce que, convoitant un autre poste au sein du bureau qu'il n'a malheuresement  pas réussi à avoir, indiquent les mêmes milieux. 

    La Nouvelle Tribune du 04/02/2008    

    Ludovic D. Guédénon


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    Les organisations professionnelles sont invitées à prendre part à la réception officielle de remise de matériel informatique qui aura lieu dans la salle de conférence de la CCIB, le jeudi 28 février 2008 à 15h précises.

    Pour toute information, contacter : info@pasp-bj.org ou 21 31 00 28.

    Initialement prévues pour le 17 février 2008, les élections municipales et communales couplées avec celles villageoises et de quartier de ville plongent dans l'incertitude. En effet, le bureau de la Commission électorale nationale autonome (CENA) élu en l'absence de sept membres contestataires est invalidé par la Chambre administrative de la Cour suprême. Au parlement, la désignation des membres de la CENA au niveau des arrondissements continue de diviser les députés d'un même groupe politique ou allié. Bref, les clans politiques se battent pour le contrôle desdites élections et l'on se pose la question de savoir si ce sont réellement les questions de développement à la base, enjeux de la décentralisation, qui motivent l'ardeur des politiques ou autre chose.

    Dans tous les cas, après cinq années d'expérience commencée depuis 2002, le bilan des communes n'est pas très reluisant. Certes c'est une expérience qui a suscité beaucoup d'espoir au sein des populations. Mais hélas ! Il manque de mots pour dénoncer les maux qui s'érigent en obstacle à la décentralisation.
    On retient simplement avec le Maire de la ville de Savalou Boniface Vissoh qui confiait en avril dernier à nos confrères du quotidien la Nation que : « Cette mandature finissante a servi de cobaye. On a fait ce qu'on a pu. Nous espérons que ceux qui viendront auront la tâche plus aisée. Et qu'on leur donnera le minimum pour le travail ».

    Oui, la tâche n'a pas été facile pour les maires sortants. Le transfert des compétences n'a pas été concrétisé totalement. Le parachutage des chefs d'arrondissement, l'existence de majorité mécanique, la mise à l'écart de certains conseillers dans la gestion des affaires locales, les destitutions ou les menaces de destitution politiciennes, l'absence de transparence dans la gestion des affaires, l'inexistence ou l'absence de personnes ressources qualifiées... sont autant de maux recensés et en même temps des défis pour la prochaine mandature.

    Cette mandature n'aura plus d'excuse à l'heure du bilan en 2013. C'est pourquoi, les candidats aux prochaines élections municipales et communales doivent prendre la mesure des choses, se dévêtir de leur manteau politique pour enfiler celui du développeur, et ne s'engager que parce qu'ils sont capables, et non parce qu'ils ont le soutien d'une classe politique. Il est temps de comprendre que l'élection à la base est une question de développement, qui implique tous les acteurs, de la mouvance ou de l'opposition, de la société et de toutes les couches sociales sans exception.

    Dans tous les cas, les défis prochains que sont : l'élaboration et le respect de la charte de la gouvernance locale, la désignation des chefs lieux des départements, l'aide de l'Etat aux communes, la coordination de l'appui des bailleurs pour ne citer que ceux-là sont des tâches qui demandent une bonne concentration du gouvernement et des élus locaux en vue de mieux se consacrer aux questions de développement pour l'émergence des localités à la base.
    Le dimanche 03 mars 2008, l'émission "Zone Franche" de la télévision Canal 3 TV Bénin a reçu M. Claude C. Fréjus Djankaki, Administrateur des finances, Expert , consultant, chercheur en finances publiques, gestion urbaine et décentralisation pour analyser les cinq années de décentralisations que vienne de vivre le Bénin

    Hippolyte Djiwan



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