• QUI ?

     

    Le Ministre de la Santé et ses homologues des Ministères en charge de l'Industrie, du Commerce, de l'Agriculture et de la Famille avec l'appui des Partenaires Techniques et Financiers en particulier l'USAID, l'UNICEF et Helen Keller International

    FAIT QUOI ?

    Débat avec la Presse sur les huiles alimentaires et la farine de blé, enrichies en micronutriments.

     

    OÙ ?

    Salle des conférences du Ministère de la Santé Cotonou

    QUAND ?

    Le mercredi 2 décembre 2009 à 10 heures, en prélude au lancement officiel prévu le 3 décembre à 9h au Palais des Congrès de Cotonou

    POURQUOI ?

    Les carences nutritionnelles, souvent invisibles, ont des effets négatifs sur la croissance et le développement des enfants et diminuent la productivité à l'âge adulte. Il est démontré que la consommation d'aliments enrichis en vitamine et  sels minéraux est une stratégie simple, efficace et peu coûteuse pour lutter contre ces carences et leurs conséquences

     Pour plus d'informations, merci de bien vouloir contacter: 
    Anne Sophie Le Dain , Spécialiste en nutrition, alealedain@unicef.org Tel: 21300266 / 21300942
    Hippolyte Djiwan, Knowledge Manager, UNICEF, Cotonou, hdjiwan@unicef.org, Tel: 21300266 / 21300942


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  • Selon une étude réalisée par des médecins britanniques et publiée lundi 10 août, les médicaments anti-grippe A comme le Tamiflu ne devraient pas être prescrits aux enfants, car les effets indésirables l’emportent sur les bénéfices.

    Les auteurs de l’étude, mise en ligne par le British Medical Journal (BMJ) invitent ainsi le département de la santé britannique à remettre en cause leur politique de lutte contre la pandémie du nouveau virus A (H1N1).

    “Stratégie inappropriée”

    D’après l’un des rédacteurs du document, le Dr Carl Henegan, médecin généraliste et expert du John Radcliffe Hospital à Oxford (Royaume-Uni), donner du Tamiflu pour une maladie relativement bénigne est une “stratégie inappropriée”.
    Le médecin ajoute que les effets nocifs d’une prescription systématique – telle qu’elle est pratiquée en ce moment en Angleterre – l’emportent sur les bienfaits d’une réduction d’un jour et demi de la durée des symptômes. En Grande-Bretagne, aucune prescription médicale n’est nécessaire pour se procurer du Tamiflu.

    Vomissements, déshydratation et cauchemars

    L’étude entend souligner les effets secondaires du Tamiflu chez les enfants ; effets qui se traduisent, chez certains cas, par des vomissements, une déshydratation, et d’autres complications.
    Il y a quelques jours, une autre enquête avait démontré que les enfants ayant reçu préventivement du Tamiflu avaient souffert d’effets secondaires incluant nausées et cauchemars.
    L’agence sanitaire britannique, la Health Protection Agency (HPA), a quant à elle souligné que plus de la moitié des 248 jeunes élèves qui avaient été vacciné au Tamiflu, ont souffert d’effets secondaires tels nausées, insomnies et cauchemars.

    Nouvelobs.com
    Publié le 10/08/2009 par Le Grand Journal

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  • Ecrivain, journaliste, cinéphile et libraire, Stéphane Bourgoin est également analyste au Centre International de Sciences Criminelles et Pénales. Il est sans doute le criminologue le plus connu des Français. Considéré comme l’un des plus grands spécialistes internationaux des tueurs en série, il est régulièrement invité sur les plateaux de télévision comme expert en criminologie. Aujourd’hui, il nous livre un article passionnant sur la chasse aux pédocriminels qui s’organise sur internet.
    Cet article, qui date de quelques années, n’en reste pas moins d’actualité et apporte un éclairage intéressant sur le rôle des outils technologiques utilisés par la police dans leur traque des pédocriminels.

    Les pédophiles adeptes de l’espace sauvage qu’est Internet ne perdent rien pour attendre: un nouveau logiciel devrait permettre de les prendre sur le fait. Bill Gates et la GRC sont dans le coup. La chasse est ouverte.
    En janvier 2003, un officier du service de police de Toronto, désemparé devant le manque d’outils technologiques à sa disposition pour combattre efficacement l’exploitation sexuelle des enfants en ligne, a envoyé un courriel à Bill Gates pour lui demander de l’aide.

    La réponse n’a pas tardé. Microsoft est entrée rapidement en communication avec les policiers de Toronto afin de connaître leurs besoins et élaborer un logiciel permettant de traquer plus efficacement les prédateurs sexuels sur Internet, explique Frank Battiston, de Microsoft Canada.
    Ainsi était lancé début 2005 le Système d’analyse contre la pornographie juvénile dont les policiers Canadiens ont été les premiers au monde à faire usage.

    « C’est une plateforme de collaboration et d’échange d’information. Nous avons travaillé avec les forces policières pour comprendre les enjeux entourant la pédophilie sur Internet. C’est un système mis au point par les enquêteurs pour les enquêteurs. Maintenant, ils doivent travailler ensemble. »

    Pour le pédophile, Internet apparaît comme le terrain de jeu rêvé: dépourvu de frontières, anonyme, riche d’information. Outre qu’ils y échangent quantité de matériel de pornographie infantile, les prédateurs utilisent Internet pour entrer en contact avec leurs victimes par le biais de forums de discussion, fréquentés par des enfants de plus en plus jeunes. La multiplication fulgurante de sites à caractère pédophile, de forums de discussion et d’autres moyens de communication fait en sorte que la lutte dans le cyberespace semble inégale entre les pédophiles et ceux qui les combattent et qui veulent protéger les enfants.

    Mais ce nouveau logiciel risque de bouleverser la donne, poursuit M. Battiston, qui se montre par contre avare de détails quant au fonctionnement du nouvel outil technologique, de crainte de fournir de précieux renseignements aux traqueurs d’enfants.

    « De l’information saisie sur des forums de discussion pourrait se retrouver dans le système automatiquement. Cela aidera l’enquêteur à passer à la prochaine étape. Pour vous donner une idée du fonctionnement du logiciel, imaginez d’un côté des pêcheurs sur un vieux bateau au milieu de l’océan Pacifique avec des outils de pêche en mauvais état. Les seuls poissons qu’ils réussissent à prendre sont ceux qui sautent d’eux-mêmes dans l’embarcation. Les poissons stupides. De l’autre, des pêcheurs dotés d’équipements sophistiqués et de sonars qui repèrent leur prise automatiquement… »

    Les policiers confiants

    « Le nouveau système permet de transférer la puissance d’Internet des mains des prédateurs à celles de la police », déclarait avec enthousiasme le chef du service de police de Toronto la semaine dernière.
    Le nouveau logiciel permet effectivement un bien meilleur échange d’information entre les corps policiers, confirme Gary Belair du Centre national contre l’exploitation des enfants (CNCEE) affilié à la GRC.

    « C’est une banque de données relationnelles qui nous permet de réunir des renseignements tels que l’adresse IP, l’identité d’un individu et nos rapports concernant les enquêtes sur l’exploitation des enfants. Du moment où un enquêteur met une information dans le système, un autre au pays peut l’utiliser et consulter le dossier d’enquête. Cela permet de partager des données qui autrement ne seraient pas disponibles. Les policiers disposent maintenant de plusieurs raccourcis pour faciliter l’échange d’information. On peut saisir un petit bout, un détail, le soumettre au système, et tout à coup on a beaucoup d’information… »

    Ainsi les policiers pourront désormais cumuler et croiser plus facilement les informations pour repérer un pédophile, suivre sa trace et dresser son profil. Auparavant, les services de police du pays travaillaient en vase clos, passant au peigne fin dossiers, photos et autres renseignements qu’ils recueillaient individuellement. Cela rendait l’échange d’information quasi impossible.

    « Avant, on ne partageait pas notre information. On ne se connaissait pas. Nos collaborations se limitaient à des appels téléphoniques entre enquêteurs. Désormais, on a un coffre à outils pour identifier les agresseurs », enchaîne M. Belair.
    La GRC est responsable de l’application nationale du logiciel qui est utilisé à l’heure actuelle par 18 corps policiers. À court terme, ce nombre passera à 26. Déjà une centaine d’enquêteurs de police sont à l’aise avec le système mis en place au début de l’année.

    « L’information concernant les crimes pédophiles nous provient d’autres corps policiers mais aussi du public. Parfois, des parents nous appellent car ils craignent que leur enfant ait été approché par un adulte sur Internet. D’autres s’inquiètent du fait que leur enfant a reçu une photo d’un inconnu. Les pédophiles essaient de développer une relation de confiance avec les enfants en allant sur des forums de discussion pour ensuite leur fixer un rendez-vous, ce qui est interdit par le Code criminel. Aujourd’hui, dès qu’on a une information, on commence à vérifier », précise M. Belair.
    Si le travail des services de police luttant contre l’exploitation sexuelle des enfants consiste en grande partie à traquer, démasquer et traduire en justice les abuseurs, il implique tout autant d’identifier les victimes. L’un ne va pas sans l’autre, continue M. Belair. « Au bout du compte, on veut parvenir à identifier la victime et le suspect. Et si on peut déterminer qu’il y a crime de nature sexuelle, on procédera à l’arrestation. »

    Mr. Belair tient à rappeler qu’il est illégal d’avoir en sa possession une image pornographique d’enfant, de la transmettre et de la produire.
    « Évidemment, l’individu que l’on désire attraper en premier lieu, c’est celui qui produit le matériel pornographique. »

    Peu de statistiques

    Bien peu de statistiques sont disponibles au sujet des crimes sexuels commis contre des enfants au Canada.
    « On n’a pas encore commencé à compiler toutes les statistiques. Mais nous savons que pour l’instant, 50 jeunes victimes ont été identifiées à partir d’enquêtes ou de photos. Et avec le temps, nous allons en identifier plus. »
    Depuis septembre 2003, 63 causes concernant des adultes qui se seraient servis d’Internet pour rencontrer des enfants ont été portées devant les tribunaux enfant.

    « Il y a six mois, on recevait de 50 à 70 plaintes par mois. Aujourd’hui, on en reçoit plus de 100. »
    Le nouvel outil technologique ne fera sans doute pas de miracles et ne mettra pas fin à l’exploitation sexuelle des enfants, admet M. Belair. Toutefois, il permettra aux policiers d’être nettement plus efficaces, croit-il.

    « Je suis convaincu que ça va nous aider énormément. La technologie est un outil; elle n’arrêtera pas tous les pédophiles mais elle éliminera la duplication et accélérera notre travail. On veut être davantage proactif. Et là on s’en va dans la bonne direction. La police de Toronto fait usage du nouveau système depuis quelques mois, et elle a procédé à cinq arrestations qui lui sont directement attribuables. »

    Des pays européens s’étant montrés intéressés au logiciel, Microsoft a indiqué qu’elle injecterait à court terme deux millions de dollars supplémentaires afin de le rendre accessible à travers le monde. »

    Un article de Frédéric Denoncourt publié par Stéphane Bourgoin dans « Au Troisième Oeil ».

    Source : readwriteweb.com

     


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  • Le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) s'est inquiété, mardi 11 août, de l'ampleur de la malnutrition sévère dont souffrent les enfants en Centrafrique. Selon les chiffres de l'agence onusienne, près de 700 000 enfants de moins de 5 ans "vivent au-dessous des seuils acceptables, et beaucoup sont maintenant à la limite de la survie".

    Le taux de malnutrition aiguë atteint ainsi 16 % des enfants de moins de 5 ans dans trois provinces du sud du pays, celui de malnutrition sévère aiguë touche 6,6 % de la même classe d'âge. "C'est loin au-dessus des seuils d'urgence de 15 % pour une malnutrition sévère et de 2 % pour une malnutrition sévère aiguë", s'alarme l'Unicef.

    Les causes de cette "malnutrition chronique" sont multiples, selon l'agence onusienne. L'extrême pauvreté de la Centrafrique, où plus de six personnes sur dix vivent avec moins de 1,25 dollar par jour, y contribue grandement. "La crise financière mondiale et le déplacement des populations en raison du conflit en cours pèsent sur l'économie", a ajouté la porte-parole de l'Unicef à Genève, Véronique Taveau. Ainsi, les revenus du secteur minier ont été sévèrement affectés par le ralentissement économique.

    A cela il faut ajouter l'instabilité chronique du pays. Depuis 2005, les conflits internes se multiplient, notamment dans le Nord, où plusieurs dizaines de milliers de personnes ont été déplacées. Affirmant que beaucoup des 700 000 enfants affectés "sont maintenant à la limite de la survie", l'Unicef a lancé un un appel de fonds de 1,5 million de dollars pour "l'achat et la distribution d'aliments thérapeutiques" et de médicaments.

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  • Le Fonds des Na­tions Unies pour la po­pu­la­tion (FNUAP) veut ren­for­cer son bu­reau genre au Ni­ge­ria pour amé­lio­rer les lois liées à la po­pu­la­tion fé­mi­nine dans le pays, a ré­vé­lé mardi à Abuja Dr Agathe Law­son, re­pré­sen­tant ré­sident du FNUAP au Ni­ge­ria.
    Law­son a fait l'an­nonce après avoir rendu vi­site, lundi, à Mme Sa­la­ma­tu Su­lei­man, mi­nistre ni­gé­riane des af­faires fé­mi­nines et du dé­ve­lop­pe­ment so­cial.
    «Nous al­lons ren­for­cer notre bu­reau genre au FNUAP pour vous don­ner un appui adé­quat sur les ques­tions de la mor­ta­li­té ma­ter­nelle et d'autres ques­tions ur­gentes ».
    «Les femmes contri­buent pour en­vi­ron 70 pour cent à la crois­sance de nos pays, mais nous nous ren­dons compte que plus de femmes meurent de dif­fi­cul­tés que du VIH/SIDA ».
    Les hommes, a-t-elle pour­sui­vi, font par­tie de ceux qui af­fectent la vie des femmes puisque qu'ils sont les prin­ci­paux dé­ci­deurs.
    «Nous sommes ac­tuel­le­ment en col­la­bo­ra­tion avec le Bu­reau des Ob­jec­tifs du mil­lé­naire pour le dé­ve­lop­pe­ment (OMD) sur les cam­pagnes de sen­si­bi­li­sa­tion mas­sives sur les femmes et le dé­ve­lop­pe­ment de l'en­fant, les per­sonnes han­di­ca­pées, l'édu­ca­tion des filles, les per­sonnes âgées et des op­pri­més dans la so­cié­té », a dé­cla­ré la mi­nistre dans sa ré­ponse.
    «Dans le do­maine des pra­tiques tra­di­tion­nelles nui­sibles tels que la mu­ti­la­tion gé­ni­tale des femmes, les en­fants sor­ciers, no­tam­ment en ce qui concerne la loi sur les droits de l'en­fant, nous es­ti­mons que les lois ne de­vraient pas seule­ment être non seule­ment vo­tées, mais elles doivent éga­le­ment être mises en œuvre ».

    «Nous avons éga­le­ment rendu vi­site aux gou­ver­neurs et aux par­le­men­taires au ni­veau éta­tique pour en­cou­ra­ger le vote des lois sur la pa­ri­té homme-femme afin de pour pro­té­ger les droits des femmes», a dit Su­lei­man.

    MM/daj/sd/mn/APA / 2009-08-11 15:24:06


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