•  ©UNICEF Bénin /2014 /Hippolyte Djiwan
     
    ZAKPOTA, 20 octobre 2013 – La Représentante de l’UNICEF, Dr Anne Vincent, et l’Ambassadeur du Royaume des Pays-Bas, Jos Van Aggelen, ont participé à la certification du premier village du Bénin à avoir mis fin à la défécation à l’air libre.

    Les populations du village d’Allohoun Oukanmè, situé dans la commune de Zakpota, ont mis en œuvre l’approche de l’Assainissement Total Piloté par la Communauté (ATPC). Ce programme soutenu par les Pays-Bas et l’UNICEF consiste à déclencher une prise de conscience des populations sur les conséquences de cette pratique et considérer que la meilleure solution proviendra des communautés, seuls acteurs capables d’initier un changement de comportement durable et adopté par tous.

    Au Bénin, plus de la moitié de la population défèque à l’air libre favorisant la propagation de maladies mortelles pour les enfants. On estime que 7.000 personnes dont 4.300 enfants meurent chaque année de la diarrhée. Ces décès sont dus à près de 90% à l’impureté de l’eau et au manque d’assainissement et d’hygiène au sein des communautés.

    L’Ambassadeur des Pays-Bas a félicité les populations du village, les autorités et les ONG qui ont permis de mener ce projet.

    « C’est une occasion heureuse: vous êtes le premier village FDAL du Benin. FDAL veut dire ‘fin à la défécation à l’air libre. C’est un résultat de grande importance, d’abord pour vous, la population, parce que cela montre que la santé progresse pour vous tous », a-t-il dit.

    Le succès de l’ATPC réside dans la confiance accordée aux communautés sur leurs capacités d’innovation pour construire des latrines adaptées à leur contexte et à leur revenu, mettre en place et utiliser des dispositifs de lavage des mains avec de l’eau et du savon ou de la cendre, éliminer toutes les aires de défécation dans et autour des villages, tout en assurant la propreté des habitations et de leur environnement immédiat. 

     « Les conséquences de la défécation à l’air libre sont terribles pour la survie des enfants et de toute la communauté. Aussi, son élimination constitue une grande avancée dans les communautés », a dit Dr Anne Vincent, la Représentante de l’UNICEF au Bénin.

    « L’éradication de la défécation à l’air libre permet non seulement de sauver des vies, d’assurer la sécurité des femmes, mais aussi, d’économiser les frais médicaux prohibitifs auxquels  chaque ménage fait face pour soigner les  enfants ou la famille entière », a-t-elle ajouté.

    Durant cinq mois, 33.750 ménages abritant près de 190.000 personnes vivant dans 760 localités, ont bénéficié du  programme ATPC. Au total, 291 localités ont complètement abandonné la défécation à l’air libre et les autres sont en bonne voie pour y parvenir d’ici la fin de l’année.

    Ce projet a vu le jour grâce aux autorités béninoises et au soutien financier du Royaume des Pays-Bas et de l’UNICEF et grâce au travail accompli par les ONG sur le terrain notamment le Centre d’Etudes, de Recherches et d’Interventions pour le Développement (CERID),  l’ Association pour des Etudes et Réalisations en milieu rural, la SNV, l’Association de Lutte pour un Développement intégré et pour la Protection de l’Environnement (ALDIPE) et Eau et Assainissement pour l’Afrique (EAA).

    Intervenant lors de la cérémonie, la Ministre de la Santé Dorothée A.K. Gasard a souligné que « la défécation à l’air libre place le Bénin dans les 4 derniers pays sur 215 pays classés et que l’on estime que cette pratique coûte plus de 50 milliards de francs CFA par an au Bénin à cause des décès, des dépenses de santé et de la perte de productivité ».

    Cette certification intervient à l’occasion de la Journée mondiale du lavage des mains à l’eau et au savon. Selon l’UNICEF et l’Organisation mondiale de la Santé, en 2013 plus de 340.000 enfants de moins de cinq ans – presqu’un millier par jour – sont morts des suites de maladies diarrhéiques dues au manque d’eau salubre, d’assainissement et d’hygiène de base.

     Pour toute information complémentaire, merci de contacter :
    - Hadrien Bonnaud, Spécialiste Communication: hbonnaud@unicef.org  : +229 61 19 97 27
    - Adama Ouédraogo, Chef de la Section Survie UNICEF : adoudraogo@unicef.org  : +229 2 136 50 05

    Pour plus d’informations visitez nos sites web  

    • www.unicef.org/benin
    • Facebook UNICEF Bénin


    votre commentaire
  • ©2014/Hippolyte Djiwan

    Retenu depuis 1994 par l’OMS et l’UNICEF comme « Hôpital Ami des Bébés », l’Hôpital de la Mère et de l’Enfant (HOMEL), a abrité le 18 août 2014 à Cotonou, le lancement de la Semaine Mondiale de l’Allaitement Maternel (SMAM) dont le thème est : « L’allaitement, un atout gagnant pour la vie ».

    Cette activité a été marquée par la visite, du Pr Dorothée Akoko Kindé Gazard, Ministre de la Santé et de Dr Anne Vincent, Représentante de l’UNICEF au Bénin, aux nourrices à la salle de lait de l’unité de néonatologie de l’hôpital. Par ailleurs, les deux personnalités ont visité la classe des mères où elles ont délivré des messages de soutien et d’encouragement à la centaine de femmes en séance d’information, d’éducation et de communication.
    Au Bénin, 94% des enfants nés au cours des deux dernières années ont été allaités, un enfant sur deux a été mis au sein dès la première heure de sa naissance et seulement un enfant sur 3 a été exclusivement nourri au lait maternel jusqu’à six mois.

    Mais ces performances restent à améliorer car la pratique de l’allaitement maternel exclusif jusqu’à six mois n’est pas encore entièrement adoptée à cause des pressions relatives aux normes et dynamiques socio-culturelles. De même, l’introduction précoce d’aliments solides et l’utilisation d’eau et tisanes restent très répandue dans tout le pays avec souvent des conséquences néfastes sur la santé et le développement des bébés.

    Au cours du lancement de la SMAM, le Dr Anne Vincent, Représentante de l’UNICEF a rappelé aux femmes enceinte et celles allaitantes que « l’allaitement maternel exclusif jusqu’à six mois est le moyen le plus efficace pour prévenir la mortalité infantile, particulièrement celle néonatale et qu’il joue un rôle majeur dans la santé et le développement des enfants ». S’appuyant sur une histoire vécue, Dr Anne Vincent, a souligné que « l'allaitement peut changer la vie d'un enfant et être pour lui une chance pour sa survie ».

    Quant au Pr Dorothée Akoko Kindé Gazard, Ministre de la Santé, elle a invité « les ONG locales et internationales, les médias, les chefs traditionnels et religieux, les leaders et autorités à tous les niveaux, à apporter la bonne information à toute la population béninoise pour le changement de comportement souhaité en matière de l’allaitement maternel ». A l’endroit du personnel de santé, elle a insisté sur davantage de soutien à procurer aux mères avant et après la naissance de leur enfant.

    La Semaine Mondiale de l’Allaitement Maternel qui couvre tout le mois d’août vise à attirer l'attention sur l'importance d'intensifier les actions visant à protéger, promouvoir et soutenir l'allaitement maternel comme une intervention à haut impact sur la santé de la mère et de l’enfant. Elle contribue également à mettre en valeur les progrès accomplis à ce jour pour promouvoir l'allaitement maternel et l’alimentation du nourrisson et du jeune enfant et, à encourager au moins 80% des mères d’enfants à comprendre la pertinence de l'allaitement maternel exclusif dans le monde changeant d'aujourd'hui.

    Pour atteindre ces objectifs, il est envisagé diverses activités de communication comme les des émissions des radios locales, la diffusion de témoignages des mères « modèles » sur leurs expériences de l’allaitement maternel exclusif et des séances d’échanges entre les relais communautaires et les mères.


    votre commentaire
  • Une quantité record de fournitures d’urgence livrées à des enfants piégés dans un nombre record de crises

    Au cours de ce seul mois d’août, l’UNICEF a expédié 1 000 tonnes de fournitures d’urgence aux enfants pris dans les crises les plus urgentes du monde – ce qui constitue la plus grande opération d'urgence jamais menée par l'organisation en un seul mois. La quantité livrée permettrait de remplir 19 avions cargos gros porteurs.

    « Ce déploiement massif organisé par l'UNICEF répond à des besoins massifs apparus dans de nombreux pays différents en même temps », a déclaré Mme Shanelle Hall, Directrice des opérations d'approvisionnement et de logistique de l’UNICEF. « Maintenant, il est vital de garder ouverts des couloirs humanitaires afin que ces fournitures continuent de parvenir aux enfants qui en ont désespérément besoin. »

    Prévoyant la nécessité de redoubler d’efforts face au conflit en Iraq et à l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest, l'UNICEF a réussi à affréter le plus grand nombre de vols possible. En 27 jours, le centre d'approvisionnement de l’organisation, à Copenhague, a expédié 33 cargaisons de produits d’urgence dans les régions les plus troublées du monde :
     
    • La République centrafricaine a reçu 26 tonnes d’équipement médical, de vaccins, de rations alimentaires d'urgence et de matériel pour creuser des puits d'eau. Parmi les médicaments essentiels, les fournitures antipaludiques ont joué un rôle crucial pour protéger les enfants contre le paludisme, principale cause de décès dans le pays.

    • Les familles et enfants déplacés du nord-ouest de l’Iraq ont reçu 500 tonnes de fournitures, dont des rations alimentaires d’urgence, de l’eau, des articles médicaux, des tentes et des aliments thérapeutiques prêts à l'emploi. L’UNICEF a expédié également 4 millions de doses de vaccin contre la polio, ce qui permettra de protéger les enfants contre cette maladie, réapparue à cause de l'effondrement des systèmes de santé dans la Syrie voisine.

    • Les efforts déployés par le Libéria pour contenir l'épidémie d'Ebola ont été appuyés par 248 tonnes de fournitures de l'UNICEF, comme des gants en latex, des lunettes de sécurité et des salopettes pour protéger les agents de santé, des produits désinfectants de concentré de chlore et toute une gamme de médicaments essentiels. L'UNICEF aide également le Gouvernement à évaluer la capacité de la chaîne d'approvisionnement du pays, mise à rude épreuve par la crise.

    • L’État de Palestine a reçu 3,5 tonnes de fournitures diverses, essentiellement des médicaments essentiels pour Gaza afin de réapprovisionner les hôpitaux et les établissements de santé qui ont été endommagés au cours du conflit. L'UNICEF a également fourni des vaccins essentiels pour protéger les enfants, particulièrement vulnérables lors des déplacements massifs de population.

    • Le Soudan du Sud a reçu 34 tonnes de fournitures nutritionnelles essentielles, y compris des aliments thérapeutiques prêts à l'emploi à destination des enfants vulnérables, dont 50 000 risquent de mourir de malnutrition. Près d'un million d'enfants de moins de cinq ans du Soudan du Sud auront besoin d'un traitement contre la malnutrition aiguë cette année.

    • En Syrie, l’intervention de l'UNICEF, commencée sous la forme d’un pont aérien il y a quatre ans, s’est transformée en un acheminement régulier de fournitures qui comprenaient au mois d’août 89 tonnes de comprimés de purification de l'eau et de kits d'éducation. L'UNICEF est en train de livrer également plus de 156 tonnes de fournitures sanitaires, éducatives, d’approvisionnement en eau, aux familles syriennes déplacées au Liban et en Jordanie. Les préparatifs pour l’hiver vont bon train, l’UNICEF stockant des vêtements chauds pour enfants, obtenus auprès de fournisseurs locaux de la région.

    « Les enfants doivent avoir la priorité au cours des crises multiples de cette ampleur. L’UNICEF s’engage à maintenir le cap. Tant qu’il y aura des enfants dans le besoin, nous continuerons à mener ces opérations énormes et complexes d'approvisionnement d'urgence», a déclaré Mme Hall.


    1 commentaire
  • New York, le 20 novembre 2013 – Alors que la communauté internationale célèbre la Journée mondiale de l'enfance en ce jour anniversaire de la Convention relative aux droits de l'enfant, l'UNICEF demande instamment que l'on mette bien mieux en lumière ces millions d'enfants qui, dans chaque pays et à tous les niveaux de la société, sont victimes de violences et de mauvais traitements que l'on ne remarque pas ou que l'on ne signale pas.

    « Trop souvent, les mauvais traitements sont perpétrés dans l'ombre : on ne les détecte pas, ils sont passés sous silence et trop souvent, on les accepte, ce qui est encore pire, a dit le Directeur général de l'UNICEF Anthony Lake. Nous avons tous la responsabilité de 'rendre visible l'invisible', que ce soient les gouvernements qui doivent promulguer et faire respecter des lois interdisant la violence à l'égard des enfants ou les simples citoyens qui refusent de garder le silence lorsqu'ils sont témoins de maltraitance ou la soupçonnent. »

    La violence à l'égard des enfants prend bien des formes, y compris la violence familiale, les abus sexuels ou des pratiques disciplinaires trop strictes. On la constate souvent en situation de guerre ou de conflit armé. Elle peut infliger des souffrances physiques autant que psychologiques aux enfants.

    « La violence à l'égard des enfants fait plus que blesser ceux qui la subissent, elle déchire le tissu social, affecte la productivité, le bien-être et la prospérité, affirme M. Lake. Aucune société ne peut se permettre d'ignorer la violence contre les enfants. »

    Il existe des approches efficaces pour prévenir et combattre la violence à l'égard des enfants. On peut fournir un appui aux parents, aux familles et à tous ceux qui s'occupent de jeunes, renforcer les aptitudes des enfants pour les aider à se protéger contre la violence, œuvrer de façon explicite à modifier les normes et attitudes sociales qui tolèrent la violence et la discrimination et renforcer et faire respecter les lois et politiques qui protègent les enfants.

    L'UNICEF a lancé la campagne #ENDViolence Against Children (Mettre fin à la violence à l'égard des enfants) un peu plus tôt dans l'année. Elle vise à faire reconnaître publiquement cette question et encourage les gens à appuyer les mouvements locaux qui luttent contre ce grave problème mondial et à s'y engager.

    La Journée mondiale de l'enfance célèbre aussi l'adoption de la Convention relative aux droits de l'enfant, qui fête son 24e anniversaire cette année. Cette convention de l'ONU, adoptée en 1989, a été le premier instrument international juridiquement contraignant à affirmer que les droits de l'homme s'appliquent à tous les enfants. Elle spécifie que chaque enfant, où que ce soit dans le monde, a le droit de survivre et de grandir à l'abri de toutes les formes de violence.

    L'UNICEF rend aussi honneur, en ce jour, au travail important accompli par Child Helpline International (CHI), un réseau mondial comprenant 173 lignes d'assistance téléphonique dans 141 pays, qui fête aujourd'hui son 10e anniversaire. Dans un rapport mondial publié aujourd'hui, le CHI affirme que la violence, la maltraitance et l'abandon figurent parmi les principales raisons pour lesquelles les enfants et adolescents composent ces numéros d'appel à l'aide et qu'elles comptent pour 17 pour cent de tous les appels de ces dix dernières années.


    1 commentaire
  • Avec une pluviométrie de 400 milliards de m3 d’eau par an, un potentiel en terres arables évalué à 6,2 millions ha, un domaine irrigable de 364 000 ha, un ensoleillement favorable à la production de dizaines de spéculations en saison et en contre-saison, 300 km de côtes sur l’Océan Atlantique, des ressources halieutiques inestimables, et des conditions climatiques propices à la production et la reproduction de plusieurs espèces et races animales, la Guinée se positionne pour devenir le grenier de l’Afrique de l’Ouest.

    La Conférence des Partenaires et des Investisseurs privés de la Guinée, les 24 et 25 novembre 2013 à Abu-Dhabi aux Emirats Arabes Unis, sera l’occasion pour la Guinée de montrer à plus de 400 invités internationaux de marque son potentiel pour faire de l’Agriculture un levier de sa croissance économique et de sa stabilité sociale d'ici 2025. La vision sectorielle traduit la volonté du Président de la République de relancer les filières végétales, animales et halieutiques afin qu’elles contribuent de manière durable à la satisfaction des besoins alimentaires de la population, au développement économique et social et à la réduction de la pauvreté.

    Le secteur agricole guinéen offre plusieurs opportunités d’investissement rentables : la création d’unités de transformation, la réalisation d’infrastructures et d’équipements de conservation et de conditionnement, la création d’unités de production d’intrants et de divers types d’emballages, la culture fruitière, les cultures maraichères, les plantations (acajou, café, cacao, coton, etc.), la création et le développement des pôles agricoles pour redynamiser les chaînes de valeur agro-industrielles, la valorisation des innovations existantes pour l’amélioration de la production animale, et l’exploitation de grandes surfaces de terres destinées à la riziculture.

    Selon le Dr. Mima S. Nedelcovych de la Schaffer Global Group (SGG) qui est aussi spécialiste des partenariats public-privé (PPP) en Afrique, « la possibilité d’une double récolte de riz sous irrigation dans la zone de Mandiana en Haute Guinée est absolument fabuleuse. Tous les ingrédients y sont réunis : des terres fertiles, une disponibilité abondante d'eau pour l'irrigation et une population très impatiente de s'engager dans des projets PPP impliquant les petits producteurs à travers des noyaux d’exploitations commerciales ».

    De nombreux exemples de projets agricoles sont en cours d’élaboration, parmi lesquels le projet rizicole d’aménagement de 32 000 ha de terres irrigables le long des vallées des fleuves Fie et Sankarani ; le projet des centres de production, de conditionnement, et de commercialisation des intrants agricoles dont le coût est estimé à 200 millions $US ; et le projet de création du complexe avicole en Haute Guinée qui donnera naissance à un centre avicole de dernière génération. Nombre de ces projets sont demandeurs d’investissement avec des possibilités de partenariats public-privé et des possibilités d’extension du marché des produits agricoles, notamment avec le African Growth Opportunity Act, les accords UE-ACP et le marché commun de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

    Ces opportunités constituent de vrais enjeux pour le dynamisme économique de la sous-région et peuvent s’appuyer à la fois sur la position stratégique de la Guinée, sur les projets d’infrastructures d’interconnexion transnationale comme l'autoroute transafricaine côtière Lagos-Dakar et sur d’autres infrastructures d’envergure existantes ou en cours de construction en Guinée, notamment les corridors de croissance, ports, aéroports, barrages hydroélectriques et chemins de fer.

    La Conférence des Partenaires et des Investisseurs privés de la Guinée les 24 et 25 novembre 2013 à Abu Dhabi représente une occasion unique d’en apprendre davantage sur les immenses opportunités d’investissement et de partenariats qu’offre la Guinée dans le secteur de l’Agriculture et dans d’autres secteurs stratégiques : Infrastructures, Mines, Energie, Eau et Assainissement, Education, Santé.
    Pour plus d’informations : http://www.guineemergente.com.gn/conference/

    Contacts :
    Tata Sidibé
    tdsidibe@gmail.com
    Naïma Wane
    naimaw@hotmail.fr
    Tél : +221 33 864 66 09


    votre commentaire