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Dans le cadre de la conférence régionale sur les enjeux des Ntic en Afrique de l'ouest, l'Intitut Panos Afrique de l'Ouest (IPAO) a organisé le samedi 25 novembre 2006 un séminaire sur les média classiques et les nouveaux supports de diffusion au bureau régional de l'UNESCO à Dakar. En attendant l'article complet sur le séminaire, voici un extrait en video http://www.youtube.com/watch?v=X-3EN80Mwp8 du séminaire.
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Actuellement journaliste, co-présentateur de l'émission politique «Zone Franche » à Canal 3, chaîne privée de télévision, j'assume à temps partiel la direction de Publication du Magazine thématique «Les Défis de l'Environnement ».
J'assure, en qualité de rédacteur en Chef, la coordination d'une équipe de 05 journalistes de divers quotidiens dans le cadre d'un projet mis en place par CERADIS ONG. Ce projet est relatif plaidoyer en faveur des personnes vivant avec le VIH/SIDA.
Membre fondateur du Groupe de Presse « Le Matinal créé en 1997 », j'y ai assumé de hautes fonctions dont celle du Directeur de la Rédaction et celle de Directeur de la radio Océan FM appartenant au même groupe. J'y ai œuvré également pour la mise en ligne et la mise à jour régulière de ce quotidien devenu l'une des principales sources d'information pour la diaspora béninoise, les scientifiques et les chercheurs sur le Bénin.En décembre 2004, je me retire du groupe Le Matinal pour me consacrer aux recherches sur les Médias, les TIC, l'Education, les Médias à l'école et l'Environnement puis les questions de développement.
A cet effet, j'ai fait de nombreuses publications en ligne (www.panos-ao.org, www.mediabenin.org ) ou dans des revues spécialisées à l'instar de «Médiaction».
Depuis 2000, j'assume la fonction de Correspondant presse écrite de l'Institut Panos Afrique de l'Ouest ( IPAO). En cette qualité, je suis membre de la rédaction du Magazine Médiaction édité par l'Ipao. Dès 2002, dans le cadre du programme Site Média regroupant six pays d'Afrique de l'Ouest j'assume en tant que consultant auprès de l'IPAO, le fonctionnement et l'administration du site http://www.mediabenin.org/
De même, je suis consultant en matière de développement de contenu de site web auprès de la société H2com Sarl et animateur de plusieurs groupes de discussion sur le VIH :SIDA, les Médias et les TIC au Bénin et en Afrique.
Avant la création du quotidien Le Matinal, j'ai travaillé dans les rédactions des quotidiens Le Citoyen (1997), Le Matin (1996), Progrès Hebdo (1995-1996). De 1991 à 1994, j'ai été rédacteur au journal des étudiants « Le Héraut ». En 1990, j'ai fondé avec deux amis la Radio Univers, la station universitaire de radiodiffusion.J'ai réalisé et publié plusieurs dossiers dont :
- Accès à l'Education : comment emmener et maintenir les enfants à l'école (http://www.africansocialforum.org/flamme/fsm/Porto/ed3.pdf )
- Aide de l'Etat à la presse : Nouvelles Orientation au Bénin, des premiers pas à la reforme (Médiaction N°39 Pages 27 à 34 Septembre 2004)
- Etude : Les Médias et l'Internet en Afrique de l'Ouest : la Presse en ligne et la connectivité des radios communautaires Publié par l'Ipao (Février 2004) Etude réalisée avec Philipe Jallon, Marie-Laure Degbeu et Baba Thiam.Sur le plan Associatif, je suis le président de réseau ReMed TIC, Réseau des Médias pour le développement des TIC au Benin.
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Actuellement journaliste, co-présentateur de l'émission politique «Zone Franche » à Canal 3, chaîne privée de télévision, j'assume à temps partiel la direction de Publication du Magazine thématique «Les Défis de l'Environnement ».
J'assure, en qualité de rédacteur en Chef, la coordination d'une équipe de 05 journalistes de divers quotidiens dans le cadre d'un projet mis en place par CERADIS ONG. Ce projet est relatif plaidoyer en faveur des personnes vivant avec le VIH/SIDA.
Membre fondateur du Groupe de Presse « Le Matinal créé en 1997 », j'y ai assumé de hautes fonctions dont celle du Directeur de la Rédaction et celle de Directeur de la radio Océan FM appartenant au même groupe. J'y ai œuvré également pour la mise en ligne et la mise à jour régulière de ce quotidien devenu l'une des principales sources d'information pour la diaspora béninoise, les scientifiques et les chercheurs sur le Bénin.En décembre 2004, je me retire du groupe Le Matinal pour me consacrer aux recherches sur les Médias, les TIC, l'Education, les Médias à l'école et l'Environnement puis les questions de développement.
A cet effet, j'ai fait de nombreuses publications en ligne (www.panos-ao.org, www.mediabenin.org ) ou dans des revues spécialisées à l'instar de «Médiaction».
Depuis 2000, j'assume la fonction de Correspondant presse écrite de l'Institut Panos Afrique de l'Ouest ( IPAO). En cette qualité, je suis membre de la rédaction du Magazine Médiaction édité par l'Ipao. Dès 2002, dans le cadre du programme Site Média regroupant six pays d'Afrique de l'Ouest j'assume en tant que consultant auprès de l'IPAO, le fonctionnement et l'administration du site http://www.mediabenin.org/
De même, je suis consultant en matière de développement de contenu de site web auprès de la société H2com Sarl et animateur de plusieurs groupes de discussion sur le VIH :SIDA, les Médias et les TIC au Bénin et en Afrique.
Avant la création du quotidien Le Matinal, j'ai travaillé dans les rédactions des quotidiens Le Citoyen (1997), Le Matin (1996), Progrès Hebdo (1995-1996). De 1991 à 1994, j'ai été rédacteur au journal des étudiants « Le Héraut ». En 1990, j'ai fondé avec deux amis la Radio Univers, la station universitaire de radiodiffusion.J'ai réalisé et publié plusieurs dossiers dont :
- Accès à l'Education : comment emmener et maintenir les enfants à l'école (http://www.africansocialforum.org/flamme/fsm/Porto/ed3.pdf )
- Aide de l'Etat à la presse : Nouvelles Orientation au Bénin, des premiers pas à la reforme (Médiaction N°39 Pages 27 à 34 Septembre 2004)
- Etude : Les Médias et l'Internet en Afrique de l'Ouest : la Presse en ligne et la connectivité des radios communautaires Publié par l'Ipao (Février 2004) Etude réalisée avec Philipe Jallon, Marie-Laure Degbeu et Baba Thiam.Sur le plan Associatif, je suis le président de réseau ReMed TIC, Réseau des Médias pour le développement des TIC au Benin.
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De l'aveu même des opérateurs, une grande partie des appels passés à partir d'un téléphone mobile s'effectuent depuis le domicile. Se servir de son portable à la maison est bien pratique. On y a enregistré tous ses contacts et ceux qui appellent sont sûrs de joindre directement la personne désirée.
Pourtant, utiliser son portable pour ses appels "domestiques" coûte souvent plus cher que de passer par sa ligne fixe, notamment lorsque l'on compose un numéro fixe. La plupart des abonnements aux "box" (ces boîtiers qui délivrent à la fois la télévision, le téléphone et Internet) comprennent un forfait de communications illimitées vers les téléphones fixes en France mais aussi vers une bonne partie du monde. Et les tarifs des appels vers les mobiles sont souvent très compétitifs. Forts de ce constat, quelques opérateurs de téléphonie ou fournisseurs d'accès à Internet proposent de nouvelles offres qui permettent de combiner les avantages tarifaires du fixe et du mobile tout en simplifiant le basculement de l'un vers l'autre.
C'est la récente apparition des nouveaux portables hybrides, équipés à la fois de la technologie GSM (téléphone cellulaire) et du Wi-Fi (Internet sans fil), qui permet cette évolution. Lorsqu'on se trouve à l'extérieur, le téléphone se connecte au réseau GSM. A la maison, il est relié à la borne Wi-Fi de la "box". Elle-même connectée à Internet, cette dernière permet de téléphoner sur IP, c'est-à-dire via la Toile, et de bénéficier de communications à des tarifs intéressants, voire gratuitement. En pratique, les offres disponibles présentent des avantages... mais aussi des inconvénients.
TROIS OFFRES
Premier à se lancer cet été dans ce que les spécialistes appellent la convergence entre téléphone fixe et mobile, l'opérateur de téléphonie et fournisseur d'accès à Internet Neuf Telecom commercialise Twin, selon deux options. Tout d'abord, les clients en dégroupage total (c'est-à-dire ayant quitté France Télécom) peuvent utiliser ce nouveau système quel que soit leur opérateur de téléphonie mobile. Il leur suffit d'introduire leur carte SIM actuelle dans un téléphone GSM Wi-Fi, vendu 199 euros. Dès lors que l'abonné choisit de se connecter à sa borne Wi-Fi, les appels sont illimités vers les téléphones fixes en France et vers 31 pays. Les autres communications, vers les mobiles et vers l'international, sont facturées aux tarifs du fixe chez Neuf.Dans la deuxième option, l'abonné est à la fois client de Neuf pour le fixe et pour le mobile. Il reçoit une seule facture et le mobile GSM Wi-Fi n'est facturé que 1 euro. Les appels passés via Internet sont illimités vers les fixes en France et dans 31 pays. Lorsqu'il téléphone de chez lui vers un mobile, ces communications sont décomptées du forfait mobile.
Avantage non négligeable : les clients de Neuf Telecom, quelle que soit l'option choisie, peuvent aussi passer des communications en mode Wi-Fi dans la rue. Quelque 3 000 bornes sont en effet disponibles en France et 50 000 à l'étranger. Toutefois, ce maillage est encore très faible. Les points d'accès à Internet sont souvent situés dans des gares ou des restaurants des grandes villes.
Orange, pour sa part, vante son offre Unik - à grand renfort de publicité. Celle-ci donne la possibilité à tout abonné du réseau mobile de France Télécom disposant d'une Livebox de téléphoner en passant par Internet quand il est chez lui. Unik offre une grande souplesse d'utilisation. On peut commencer une communication chez soi par le biais d'Internet, et la finir dans la rue via le réseau GSM. Mais l'offre de la filiale de France Télécom reste chère car il faut à la fois disposer d'un forfait mobile Orange et d'un abonnement à l'ADSL... chez Orange, s'entend.
En revanche, chez Free, tout est compris. Sans abonnement supplémentaire et sans changer d'opérateur de téléphonie mobile, l'abonné peut passer ses communications via sa Freebox lorsqu'il est chez lui. Les appels sont illimités vers les fixes de 21 pays. Le client de Free peut aussi téléphoner en mode Wi-Fi chez ses amis disposant d'une Freebox. Le fournisseur d'accès à Internet commercialise depuis début octobre son téléphone GSM Wi-Fi au prix de 199 euros.
Toutes ces offres ne simplifient pas complètement la vie de l'abonné. Il n'est pas toujours possible d'être joint sur un seul téléphone, quel que soit le numéro utilisé par son correspondant (celui du portable ou de la "box"). Chez Free et dans certains cas chez Neuf Telecom, le client devra paramétrer le renvoi de ses appels vers son GSM. Chez Orange, le regroupement des appels vers un seul numéro n'est pas prévu.
DE POSSIBLES ÉMULES
Malgré ce handicap, la convergence entre fixes et mobiles devrait faire des émules. Club-Internet et même le câblo-opérateur Noos Numéricâble envisagent de mettre en place des offres permettant de jongler entre le GSM et le téléphone via Internet. Ces propositions pourraient voir le jour courant 2007.
Cependant, d'autres opérateurs ont choisi une autre voie : celle du tout-mobile. Bouygues Telecom assure que son offre Neo, qui permet de téléphoner de façon illimitée vers n'importe quel opérateur à partir de 20 heures, est un moyen de faire bénéficier d'une tarification avantageuse les clients qui passent leurs appels de chez eux.
Pour sa part, SFR expérimente depuis début octobre, dans les Bouches-du-Rhône et en Haute-Garonne, une offre de téléphonie mobile illimitée vers les fixes dès qu'on est près de son domicile, baptisée Happy Zone. Quand l'abonné est connecté au relais GSM de son domicile, ses appels vers les numéros fixes sont illimités, moyennant 15 euros par mois en sus de son forfait mobile. Pour un abonnement de 30 euros, l'abonné peut aussi bénéficier d'appels illimités vers les numéros SFR. Si ces offres rencontrent le succès, elles pourraient être étendues à l'ensemble du territoire courant 2007.
Joël Morio
Source : "Le Monde"
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L'Observatoire de la Déontologie et de l'Ethique dans les Médias a été saisi le 26 septembre 2006 par lettre d'une plainte de Mme HOUNWEBA Henriette chef d'Arrondissement d'Ahouannonzoun, commune d'Allada contre le journal «Le Griot de la Cité» Paraissant à Allada.
Les Faits
Dans son édition n° 12 du 04 au 10 septembre 2006, l'hebdomadaire «Le Griot de la Cité» publie en page 4 un article intitulé : «ABUS DE CONFIANCE ET DETENTION ABUSIVE DU BIEN D'AUTRUI : Le Conseil d'Administration d'Ahouannonzoun doit retourner le véhicule Mitsubishi à son propriétaire». Dans cet article, l'auteur C. Rodrigue écrit «Le chef de l'arrondissement d'Ahouannonzoun. Dame Henriette HOUNWEBA est connue pour la célébrité de sa vedette plutôt vide et emphatique. A aucune occasion, officielle ou privée, elle ne passe inaperçue... tellement elle pavane et se donne le poids d'une montagne malgré tout... Sur le chantier de la décentralisation où elle s'est illustrée par on ne sait quel hasard, elle peine, tout comme son chef d'orchestre à donner de réels résultats. Elle bredouille, farfouille et vadrouille. Toute chose qui dégoûte l'opinion locale et nationale qui de plus en plus s'interroge sur le crédit que peuvent avoir encore ces autorités locales parfois sans foi ni loi».
Dans le même article, il est écrit «Dame Henriette HOUNWEBA vivote actuellement dans un abus de confiance qui mérite d'être soulevé et agité [...] le véhicule d'immatriculation togolaise que roule actuellement la cheftaine d'Ahouannonzoun ne lui appartiendrait pas. Elle l'a «arnaqué» chez un particulier [...] Le drame est que le véhicule circule actuellement en toute illégalité. L'assurance est expirée sans que le CA ne pense à la renouveler [...] Les autres formalités douanières prescrites aux véhicules d'immatriculation étrangère sont aussi négligées par la grande autorité d'Ahouannonzoun.
Conformément aux exigences des statuts et du règlement intérieur, l'ODEM a adressé une correspondance au directeur de publication du journal «Le Griot de la Cité» avec copie de la plainte afin qu'il puisse apporter les preuves justifiant l'article incriminé. En réponse à cette correspondance, le Directeur de publication du journal «Le Griot de la Cité» n'a pas fourni les preuves de ses allégations et a promis faire un rectificatif dans sa prochaine parution suivante. Dans l'article paru dans le n° 15 du 11 octobre 2006 et intitulé : «Au sujet de la détention du bien d'autrui par le CA d' Ahouannonzoun : le véhicule est tout au moins assuré», C. Rodrigue écrit «Après la publication de notre article, Dame Henriette HOUNWEBA s'est dépêchée de retourner finalement le véhicule à son propriétaire, mais dans un état presque totalement délabré [...] Il s'est aujourd'hui avéré qu'officiellement des papiers existent et montrent que le véhicule aurait été régulièrement assuré. [...] Entre Dame Henriette HOUNWEBA, la maman des enfants et Griot de la Cité, il y a une histoire d'amour sinon que la crucifixion aurait été impitoyable car ce n'est pas la matière qui manque. Et ça, le chef d'Arrondissement d'Ahouannonzoun le sait trop bien ».
L'APPRECIATION
L'ODEM, après avoir examiné les éléments de ce dossier :
- reçoit la plainte de Dame Henriette HOUNWEBA
- constate que « Le Griot de la Cité a fait preuve de légèreté et par conséquent, a porté préjudice à la réputation et à l'honneur de la plaignante.
- constate que le journaliste C. Rodrigue n'avait aucune preuve pour justifier l'article incriminé.
- constate dans sa parution suivante, l'auteur de l'article C. Rodrigue en lieu et place de rectificatif et d'excuses ironise plutôt et enfonce le clou.En conséquence, l'ODEM
Condamne le journaliste C. Rodrigue, le directeur de publication TEKO William Dieudonné et le journal «Le griot de la cité» pour violation des articles 2, 3, 4, 6,19 ci-après du code de déontologie de la presse béninoise.
Article 2 : Alinéa 1 et 2 «le journaliste publie uniquement les informations dont l'origine, la véracité et l'exactitude sont établies,
Le moindre doute l'oblige à s'abstenir ou à émettre les réserves nécessaires dans les formes professionnelles requises».Article 3 : Alinéa 1 «Les fausses nouvelles et les informations inexactes publiées doivent être spontanément rectifiées».
Article 4 : Alinéa 1 «le journaliste respecte les droits de l'individu à la vie privée et à la dignité».
Article 6 : Alinéa 1 «le journaliste s'interdit le plagiat, l'injure et les accusations sans fondement».
Article 19 Alinéa 2 «le journaliste n'aborde ses sujets qu'après avoir fait un minimum d'effort de recherche ou d'enquête».
Fait à Cotonou le 31 octobre 2006
Pour l'ODEM, la Vice PrésidenteKlementine LOKONOU
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